1) La neige... cette imensité blanche qui recouvre tout comme pour délavé la terre de sa saleté. Cette immensité blanche qui nous entraîne dans d'interminable partie de bataille de boule de neige et dans des constructions pharaoniques de bonhomme de neige aux nez-carotte.
2) Les feux d'artifices. Des illuminations éphémères qui arrivent à vous arracher des sourires béats qui n'avait pas éclairer votre face depuis que vous avez arrêtez de croire au père Noël. Pourquoi ? Comment ? On ne sais pas. Mais on ne peut pas s'empêcher de s'extasier sur " la belle rouge " ou " la belle bleue " , comme sis ces fleurs d'un temps, ces éclats fragiles ouvraient de courte brèches en nous. Des brèches donnant sur une enfance trop vite passée.
3) Jouer à trap-trap avec les vagues au bords de la mer. Comment expliquer les sensations qui vous saisissent lorsque le sable humide roule sous vos pieds ; ou quand, courant pour éciter une vague, sa fraîcheur vous surprends au niveau des chevilles. Etre le plus rapide, ou être le plus humide, tel est la question...
4) Quand le vent vous tient. Parce que personne ( ou presque ) n'a résisté à écarter les bras en croix, au sommet d'une falaise juste pour voir si le vent vous porte. Et là, encore une satisfaction et un plaisir personnel sans limite. Le vent dans vos cheveux, cette brise qui vous fouette le visage. Une sensation inégalable qui vous arrache un sourire rivalisant avec celui que vous arborrer devant votre met favori.
5) Les châteaux de sable. En famille ou en solitaire, les constructions de bord de mer qui fleurissent tous les ans restent un des plaisirs qui replongent les adultes dans le monde de l'enfance. Petit ou grand, tous le monde met la main à la pâte avec la même ardeur, la même persévérance, le même bonheur, et quand le chef-d'oeuvre est enfin terminé - piramide, château, fort, animal, tunnel - la même satisfaction de le voir finis, de voir que le jeu en valait la chandelle. La deuxième étapes ? Regarder, l'oeuvre se casser au fil de la marée et du flot continue des vagues écumeuses.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire