jeudi 28 mai 2009

Anniversaire...

A toi mon ami...
A toi mon ami qui a toujours été là pour moi. Que l'on soit grand ou que l'on aie été petit. Tu reste le premier et le meilleur. Tu m'écoutes parler sans broncher, tu m'écoute radoter en riant. Mais tu reste là, en gardien vigilant.

A toi mon ami...
A toi mon ami qui reste à mes côtés. Logés à la même enseigne, pourtant si opposé : toi le calme et le réfléchis, moi l'écervelé et l'impatiente. Tu m'as suivis dans toutes mes aventures, extraordinaire, ou de tout les jours. Rien ne t'as fait peur. Rien ne t'as fait reculé. Tu m'as supporte et me supporte, en compagnon aventurier.

A toi mon ami...
A toi mon ami qui partage nombre de mes souvenirs. De la maternelle au collège, toute ses années passées ensemble... Te souviens-tu de la fois où on s'est ramassé dans les orties ? Et celle où on a fait l'histoire sur la femme hippocampe ? Quand on a joué à cache-cache dans ton jardin et que vous ne me trouviez pas ? Sanctuaire de souvenirs.

A toi mon ami...
A toi mon ami, parce qu'un jour quelqu'un a dit : If you have nothing in life but a good friend, you're rich ( Michelle Kwan ). Tu es mon trésor le plus précieux. Mon réconfort le plus solide. Mon coffre-fort le plus fiable.  Et c'est seulement maintenant que je m'en rends compte. 

A toi mon ami...
A toi mon ami, que j'ai un peu oublié ces derniers temps, ce que je regrette sincérement. Toi qui es maintenant trop loin pour que je puisse te serrer dans mes bras. Mais qui bientôt sera assez près pour être taquiner. Camarade de jeu.

toi mon ami...
A toi mon ami, que je veux remercier. Pour tout ses moments de bonheurs, ces disputes, ces tacquineries, ces bêtises, ces aventures, ces histoires... Merci pour chaque moment de ma vie que ta présence rends exceptionnelle. Merci de me supporter. Merci de m'embêter. Merci d'êtr là. Merci d'être mon ami. 

A toi mon ami...
A toi mon ami qui a 17 ans aujourd'hui. Et au nom de toutes ces années passés avec toi. De tout mon coeur sincère, je te souhaite un joyeux anniversaire.


lundi 25 mai 2009

Comme quoi.

Je vous ai parler de ma peur mémorielle - il a quelques semaines, mais si, rappelez vous - vous disant que malgré ma volonté, je n'arrivais pas à la vaincre... Laissant même entendre que c'était impossible. Je me suis trompée. De Ra à Zèbre ( cf Monstre & Cie ). Et comme notre cher Napoléon qui le disait si bien : Ce n'est pas possible ; cela n'est pas français. Comment ai-je pu oublié une de mes citations favorites ! Moi qui aime défier l'impossible et pousser les capacités de mes forces à leur épuisements. Je fais demi-tour devant une simple peur ? Hum, non. Je me suis accrochée. Je voulais me prouver que je pouvais le faire. Je l'ai fait. Avec quelques graines de patience, du soutient émanant d'amis fidèles, un sourire, du courage et de la volonté, on peut le faire ( cf Bob le Bricoleur ). Et de la persévérance. Au bout des semaines de cours, je me suis entraîner. Apprenant à sauter en arrière d'abord avec un rouleau ( tapis hexagonal ) puis sur un tapis en pente avec quelqu'un pour me parer, puis sur le trampoline, toujours en parade.... J'ai finis par demander de diminuer progressivement les parades, d'abords sans prévenir, car le pressentant, je ne pouvais plus rien faire, puis le sachant. Mes efforts ont portés leurs fruits. C'est ainsi que samedi dernier j'ai réussis à faire un " back flip " ou flip arrière toute seule à même le sol. D'accord, il est pas parfait, je plie les genoux et parfois, je plie les bras... mais j'y arrive, et ça, c'est ma plus belle victoire. 

Comme quoi. A l'impossible, nul n'est tenu, mais il revient à chacun de faire cet impossible ... possible. Ne jamais renoncer, aller de l'avant. Parce qu'il n'appartient qu'à vous que vos rêves de demain deviennent une réalité aujourd'hui.

mardi 19 mai 2009

Pause en prose.



Parce que parfois il faut savoir se poser. Parce que parfois il faut savoir ne rien faire. Parce que des fois, pris dans les tourbillons du courant de la vie il faut savoir faire une escale. Parce que le lièvre a perdu contre la tortue. Et que " vite fait bien fait " ne correspond pas à chaque situation. Parce que le temps joue avec nous, comme de simple fétu de paille. Allant trop vite ou trop lentement à notre goût. Parce qu'à commencer trois cents quatre-vingt dix mille choses à la fois on finit par ne plus rien faire. Parce que prendre le temps de regarder ce qui nous entoure et respirer à plein poumons nous fais du bien. Parce que la vie n'est pas faîtes pour être vécue à trois kilomètre à l'heure. A peine 200 rêves à l'heure. Parce que parfois marcher le matin dans le vent frais, les piaillements des oiseaux vaux mieux que de prendre la voiture. Parce que le silence vaut la musique. Parce que la tranquillité à la même valeur que le brouhaha. Parce que Times Square est aussi célèbre que les pyramides trônant au milieu du désert. Parce que le yin et le yang se complète en s'opposant. Parce que l'on ne possède qu'une vie. Parce que le paysage brouillé par la vitesse du train vaut certainement le coup d'être immortalisé en photo. Parce qu'une journée n'a que 24 heures. Parce que tout le monde est riche de ces 86 400 secondes éphémères. Parce que le chemin de notre existence n'est pas rectiligne, mais emplies de courbe. Parce que ce dernier est plein d'embûches. Parce qu'à courir après deux lièvres à la fois, on ne sait plus lequel suivre. 

Parce que la vie est faîtes pour être vécue, mais aussi pour être croquer.  


mercredi 13 mai 2009

Parodie " Mon Amour, Mon Coeur "

Pour tout(e) les ainé(e) du monde qui parfois envie d'expérimenté la torture sur ceux-ci... Moi excepté, j'aime mes frères et ma soeur, ils me manquent énormément...

Mon frère, Ma soeur
Ma soeur, Mon frère
Mon frère, Ma soeur
Ma soeur, Mon frère

Il me colle aux pattes,
Et ça m'embête beaucoup,
Avec leurs tête de Blatte,
Il sont très laids surtout...

" Salut, tu dois t'lever ! "
" J'peux t'emprunter ton lecteur CD ? "

Ca s'en va et ça revient,
Dans ma chambre soir et matin,
J'ai même plus d'intimité,
J'crois que je peux plus respirer
Au Secours, j'vais étouffer moi,
Si vous ne m'lâcher pas !

Je hais mon frère et ma soeur aussi,
J'l'es déteste tous les deux, c'est la vie...

Mon frère, Ma soeur
Ma soeur, Mon frère
Mon frère, Ma soeur
Ma soeur, Mon frère

Tutututututututututututututu

Je n'existe pas pour eux,
Sauf quand ils ont besoin de moi,
Il ne pense qu'à eux,
Et font la fête quand je suis pas là,

" - Coucou, qu'est-ce que tu fais ma soeur ?
- La même chose que tout à l'heure.
- J't'ai appelé tu dois m'aider, mais tu répondais pas,
Alors j'ai dû monter, en me blessant le pied,
pour la douxième fois de la journée...
- Ca arriv'rait pas si tu me fichais la paix.
- Mais tu dois m'aider !!!!!!
- Ouais, j'ai ouïs dire, bon, tu sors de ma chambre maintenant. 
Sors de ma chambre, non tu sors, Sors de ma chambre...
Bon 1-2-3, dépêche toi de sortir ou ça va mal finir...
1-2-3, Enfin, il se décide à partir... "

Je hais mon frère et ma soeur aussi,
J'l'es déteste tous les deux, c'est la vie...

Mon frère, Ma soeur
Ma soeur, Mon frère
Mon frère, Ma soeur
Ma soeur, Mon frère 

Je vais me répèter, mais il n'y a aucune sentiment personnel là-dedans, c'est juste parce que je m'ennuie et que j'ai rien à faire...

mercredi 6 mai 2009

Exposition deuxième épisode

Suite de mes photos de ma visites des artistes... mes préférées, parce que je ne vais pas vous mettre les 50...

Je ne pouvais pas prendre les oeuvres en photos, alors je prends la pancarte à côté... 


Sculpture en craie... Par un artiste nommé "Pomme de Terre"... No kiding ! ( By Scott and Kate Scherfenberg )


Spirale en Céramique ( By Sheldon Ganstrom : http://geocities.com/sheldonganstrom )

Gravure ( Utilisé comme " tampon " avec de l'encre pour faire des tableaux, by Nick Wroblewski - nom qui sonne anglophone )

Verre et Denture ( By Richard Ryan : http://www.vitreousmatter.com )

lundi 4 mai 2009

K.O ou O.K ?

K.O. 

K.O. , soit Knock Out, est utilisé dans la boxe, en général. Il vient de l'anglais - non, sans rire, on avait pas deviné - to knock out traduis par " faire sortir en frappant ". C'est le terme employé dans les sport de combat pour signifier qu'un des deux antagoniste est hors de jeux. Cela suit généralement un coup porté par un des deux opposants à l'autre, lui faisant perdre temporairement ses capacités ( la personne est alors dites " sonnée " ). La perte de conscience peut être temporaire, suite à un violent coup, ou peut découler de la fatigue résultant d'un match arasant et long. L'arbitre arrête alors l'affrontement car le joueur se trouve dans un état critique dans lequel continuer le duel et se défendre est impossible. 
Dans la boxe anglaise, le K.O. est prononcé par l'arbitre lorsqu'un des boxeurs reste à terre après un coup adverse plus de 10 secondes. C'est une des conditions de victoire possible, on parle alors de « victoire par K.O. ». 
Le KO technique est décidé par l'arbitre quand un des adversaires est blessé et incapable de continuer le combat ou quand il décide d'abandonner le combat pour une raison quelconque. Le knock down est le terme utilisé lorsqu'un pratiquant est mis à terre par un coup mais se relève dans les 10 secondes (dans les règles de la boxe ou des boxes pieds-poings par exemple).

O.K

D'où vient l'expression O.K ? Un jour, mon père m'a dit que cela venait de la WWII, seconde guerre mondiale. Les soldats employé le terme O.K pour dire " zero killed " soit, 0k, soit O.K, ce qui voulait dire que tout allait bien, puisqu'il n'y avait pas eut de mort, le terme a été ensuite repris dans le langage courant. Ensuite, l'écriture, " Okay " peut provenir de la transcription française, le " k" en anglasi se prononçant " kay ". Toutefois le premier cas de "O.K" daterait de 1839 et aurait fait son apparition dans le Boston Morning Post ( le journal le plus célébre en Nouvelle-Angleterre à cette époque ). Notre "O.K" serait l'abréviation de " Oll Korrect", une déformation graphique de All Correct, version commune du all right britannique de l'époque. Seulement, ma curiosité me poussant plus loin, j'ai décidé de rechercher sur internet, la vrai origine de cette expression, et je suis tombé sur des choses intéressante... 

❊ Après une bataille navale, les marins britanniques inscrivaient sur la coque des bateaux le nombre de tués : 3K pour trois morts (3 killed), etc. Lorsqu'il n'y avait aucun mort, ils inscrivaient OK pour « 0 killed ». Une variante prétend que l'expression viendrait plutôt de la 0 killed » aurait été prononcé « OK »

❊ Certains prétendent qu'il vient du temps des colonisations et de l'esclavagisme chez les Français : une fois que les esclaves étaient chargés, leur « chef » leur disait « au quai » pour qu'ils apportent leur chargement sur le quai. L'expression aurait alors dérivé. ( Beaucoup dérivé.. )

❊ Un chef d'entreprise américain, nommé Otto Kaiser, examinait chaque colis avant son expédition  en cas d'accord, il y mettait ses initiales : O.K. Une variante suppose qu'il s'agirait des initiales du contremaître contrôlant la qualité des véhicules en « bout » de la chaine de fabrication des usines Ford de Detroit, qu'il aurait appliqué sur les certificats de contrôle des véhicules, validant par la même la qualité du produit.

Les plus farfelues :

❊ O. K. viendrait du grec moderne OLA KALA, une expression utilisée par les marins grecs et également par les poseurs de rails grecs aux États-Unis, qui apposaient les deux célèbres lettres sur les rails installés correctement voulant dire : tout va bien, tout bon...

❊ Le mot « Okay » viendrait d'une anecdote entre La Fayette et George Washington : lors d'une conversation entre les deux officiers, La Fayette aurait eu soudainement le « hoquet ». Washington s'en serait inquiété, alors La Fayette lui eût dit : « Ce n'est rien, tout va bien, c'est le hoquet ! » Washington en aurait déduit que lorsque tout allait bien c'était « Okay » (hoquet) et ce mot aurait fait son chemin jusqu'à nos jours.

Expositions



Pause glace au départ... Ma commande ? je ne m'en souviens plus trop, un sundae vanille, avec un coulis de fraise et du chocolat par-dessus dans un cornet bol... Un vrai réglice ( mix de délice et régale ) !


Aujourd'hui, je suis allée à une expositions d'artiste. Vous savez, ce genre de chose dans lesquelles il y a des tonnes de stand avec des artiste plus époustouflant les uns que les autres ? Bon, prenant mon courage à deux mains, j'ai demandé à ceux qui m'intéressais si je pouvais prendre des photos ( Do you mind if I take some picture ? ). Certains ont dit oui, d'autre non. Voici une sélection de mes préférées.

Verre soufflé ( By Andrew Shea www.artresourcesgallery.com/andrew_shea.html )

Mr. Monstre-en-ferraille.  ( By Anthony Pack : www.flickr.com/photos/anthonypack/ )


Bijoux en Verre dans le Verre. 

dimanche 3 mai 2009

Dis Charlotte, pourquoi... ?

C'est papa qui m'a mis la puce à l'oreille. Pourquoi Quartier de Pomme ? Pourquoi des majuscules aux milieu du mot ? Dans un livre que j'adore, une petite fille répondrait : " Il y a deux réponses à cette question, comme à toute les questions, celle du savant et celle du poète ".  
Pour cette question-ci, le savant n'aurais même pas choisis " QuArtiEr de PoMmE " mais un titre plus logique, plus en rapport avec le contexte de ce blog.
Le poète vous dira que QuArtiEr de PoMme, cela sonne bien, un peu poétique et que les majuscule font sortir le titre de l'ordinaire. 
Mais aucune réponse ne vous satisfera complètement, alors je vais vous offrir la mienne.

QuArtiEr de PoMme m'est venue naturellement quand j'ai cherché à renommer mon blog. Au début, je n'avais pas de raison, ça faisait "cool", tout comme les majuscules partout, pas particulièrement de sens. Puis, en y réfléchissant, je me suis dis que si ce titre était venu à moi, ce n'était pas pour rien. 

Dans ce cas, on peut imaginer que la "pomme", vaut la vie, et que les "quartiers" valent les petits bout de vie que je vous raconte. Et les majuscules ? Les majuscules sont l'épice de la vie, les petites choses qui font que la vie n'est pas droite et comme on veut, au contraire, elle nous réserve des surprises. Comme disait Mr. Maupassant dans son livre " Une Vie " : " La vie, vous savez, ce n'est jamais aussi bon, ni aussi mauvais que l'on croit ". Donc, pas de titre bien préparé, bien cadré, bien stéréotypé.

QuArtiEr de PoMmE, c'est mon monde à moi, que je vous raconte à vous. Mais c'est vous qui faites le choix de me lire.